L’usage du pot est à l’Enfant ce que le macramé néo-cubique est au bigorneau des rochers : une abstraction sibylline et foireuse.
Même à poil dans le jardin, l’Enfant ne perçoit pas les sidérales attentes parentales en matière de propreté.
Pire, il se prend même pour Charles Perrault ou J.R. Tolkien et revisite les classiques.
En réalité, l’Enfant n’apprend pas la propreté, il la sublime.