No mow may

No mow may est une initiative d’origine Britannique invitant les citoyens à ne pas tondre leur pelouse en mai. Au Royaume-Uni, l’organisation Plantlife invite les propriétaires de jardin à remiser leur tondeuse pendant un mois. Une manière de protéger abeilles, bourdons et autres pollinisateurs à une période de l’année où les insectes sont en pleine reproduction, ils ont besoin de zones de pontes mais également d’une nourriture abondante.

Il est préconisé après le mois de mai de laisser quelques zones non tondues ou de ne tondre qu’une fois par mois au lieu de chaque semaines.

L’idéal serait, cependant, de glisser lentement vers une prairie naturelle plutôt qu’une pelouse ainsi qu’un fauchage manuel ! 🌻 🐝 🌼 🦋

Graine

Qui ne s’est jamais amusé à souffler sur un pissenlit, pour le plaisir de voir les graines se disperser en flottant avec grâce ? La plupart de ces graines atterrissent à moins de deux mètres, mais, dans des conditions optimales – air sec et vent fort –, certaines peuvent parcourir jusqu’à un kilomètre ! 🚀

Ecoféminisme

L’écoféminisme est un courant philosophique, éthique et politique né de la conjonction des pensées féministes et écologistes.

Le courant écoféministe considère qu’il existe des similitudes et des causes communes entre les systèmes de domination et d’oppression des femmes par les hommes et les systèmes de surexploitation de la nature par les humains (entraînant le dérèglement climatique et le saccage des écosystèmes). En conséquence, l’écologie nécessiterait de repenser les relations entre les genres en même temps qu’entre les humains et la nature.

Ecocide

Proposition de définition du crime d’écocide : Constitue un crime d’écocide, toute action ayant causé un dommage écologique grave en participant au dépassement manifeste et non négligeable des limites planétaires, commise en connaissance des conséquences qui allaient en résulter et qui ne pouvaient être ignorées. (Convention citoyenne pour le climat)

Méduse

Vous voyez la différence. La tortue ne la voit pas.

Les animaux qui mangent des méduses, comme les tortues ou les poissons lune, ne font pas la différence entre une méduse et un sac plastique. Ils s’étouffent en les ingérant.

Nous produisons en moyenne 300 millions de tonnes de plastique par an.

Environ 8 millions de tonnes finissent dans l’Océan, l’équivalent d’un camion poubelle chaque minute.

Parmi eux 500 milliards de sacs en plastiques, qui servent en moyenne 20 minutes et mettent des centaines d’années à se décomposer.

Des solutions existent :

De plus en plus d’États interdisent les sacs plastiques.

Chacun peut aussi diminuer sa consommation d’emballages plastiques, par exemple en achetant en vrac.

source : Ceci n’est pas une méduse

Ecuroduc

Un écuroduc ou écureuilloduc est une construction qui permet aux écureuils, ou à d’autres petits animaux arboricoles comme les martres, de franchir sans risques un obstacle tel qu’une route, une voie ferrée ou un canal. Physiquement, il s’agit en général d’une simple corde tendue entre deux arbres, mais les écureuils volants (ou des marsupiaux volants) apprennent rapidement à utiliser deux grands poteaux plantés à leur intention de part et d’autre d’une route pour s’élancer de l’un à l’autre et ainsi traverser la route en planant sur au moins 20 m si nécessaire. 🐿️🐿️

Carte de crédit

En 2019, le WWF publie un rapport d’après une étude de l’université de Newcastle, selon laquelle un être humain pourrait ingérer environ 5 grammes de plastique chaque semaine, soit l’équivalent de la quantité de micro plastique contenue dans une carte de crédit.

Depuis l’étude de l’université de Newcastle a été publiée et si la présence omniprésente de microplastiques dans la chaîne alimentaire a été établie, la masse d’exposition des microplastiques à l’homme n’est pas définie, ce qui ne permet pas d’évaluer les risques sur la santé humaine. La fourchette d’ingestion de microplastique étant comprise entre 0,1gr (soit 50 fois moins) et 5gr par semaine, l’équivalent d’une carte de crédit. Bon appétit ! 🍽️ 💳

Renard des neiges

Le renard polaire est un animal incroyablement robuste qui peut survivre aux températures glaciales de l’Arctique, lesquelles peuvent descendre jusqu’à -50 °C dans les régions sans arbres où il habite.
Le principal ennemi du renard polaire n’est pas l’homme lui-même mais les conséquences de ses actes: les changements climatiques bouleversent l’habitat de cet animal, faisant naître des menaces parfois mortelles.