Couches

Un bébé va utiliser en moyenne 5 000 couches avant de devenir propre, ce qui représente environ 1 tonne de déchets, qui va mettre 500 ans à se dégrader. L’impact écologique de la fabrication des couches jetables n’est pas négligeable : arbres abattus pour fabriquer le cellulose, consommation d’eau pour la fabrication, eau rejetée chargée de produits chimiques après la production.

Sans compter le coût que les couches jetables affichent : 2 000€ (en se basant sur un coût unitaire de 40cts par couche).

Pour en savoir plus : Beurk des couches lavables ! (Famille zéro déchets) 👶

Paillettes

Véritable accessoire de fête, les paillettes seraient plus dangereuses que l’on pourrait le croire. Pour cause, ces particules, considérées comme des microplastiques, représentent plus de 85% du plastique dans l’océan et menacent la faune aquatique car elles ne se désintègrent pas.

Paillage

Le paillage (ou mulchage) consiste à recouvrir le sol avec différents matériaux comme de la paille, du foin, de la tonte, divers broyats, du bois… Il réduit les effets de l’érosion et du vent (qui rendent le terrain infertile), prévient la formation d’une croûte de battance (qui ralentit l’infiltration de l’eau), protège contre les chocs thermiques, accumule et stocke l’eau, nourrit la terre et les organismes vivant favorisant la vie du sol et évite le désherbage.

En paillant on imite ainsi la forêt dont le sol n’est jamais nu. 🌱 🌿 🍁 🍃 🪳

Compost

Au niveau des matières organiques rien ne se perd, tout se composte ! 🪱🥔🥬🪳

Surimi

Au Japon, le surimi est fabriqué à partir de chair ou de pâte de poisson que l’on a salée et conservée.

Dans la recette des bâtonnets fabriqués par l’industrie on retrouve beaucoup plus d’ingrédients.

Le surimi est d’abord préparé à partir de hachis de chairs de poissons blancs. Après la pêche, directement sur le bateau, la chair est mixée puis lavée à l’eau douce. La purée ainsi obtenue est surgelée par plaque de 10 kg.

A cette purée qui représente 30 à 40% du bâtonnet final on ajoute sucre, sel, huile de colza, amidon de blé, fécule de pomme de terre, poudre de lait écrémé, additifs (selon les recettes) pour former une « pâte de surimi ». Quant au petit goût de crabe, il n’existe que grâce à un arôme liquide ajouté à la recette. Blanche, cette pâte forme ainsi la base du bâtonnet. Avec de l’extrait de pigment de paprika, elle devient orange et sert à l’enrobage du surimi. Ensuite ? Étalage, cuisson à la vapeur, pliage, emballage et enfin pasteurisation : ce sont les machines qui font le reste -> bon appétit !

Sources : Ces substances que nous cache le surimi

Vidéo: Voilà comment le surimi est fabriqué